Vue générale
avec la gare en premier plan

La culture de l’olivier représentait 70 % du territoire agricole communal.
« Au lendemain de la Guerre de 1870, il y a vingt-cinq moulins à huile qui fonctionnent à Trans et on envisage (mais ce projet ne se réalisera pas) l’établissement d’un marché aux huiles qui se tiendra une fois par semaine.
En effet, on évalue alors le chiffre d’affaires des fabricants et négociants à deux millions de francs, ce qui est très important. »
Source : Trans en Provence – Guillaume Barles – Ed. Jeanne Laffitte – Marseille 1982
